Couci couça
En cette veille de fête, des news totalement mélangées, je vous préviens.
je suis en rtt 3 jours, donc je cours partout, encore plus que si je travaillais... mais j'apprécie.
j'ai eu mon Iphone !! et là, j'ai crié très très fort...
aujourd'hui il y a eu une petite fête à la crèche, demain c'est au tour de Mélina de nous faire des pirouettes...
Anaïs a mangé sa première compote ce soir, c'était top, je crois qu'on aura pas de problème pour la faire manger cette puce là, Alléluia !
j'ai enfin acheté un sapin.... (quand je vous disais que j'ai le temps de rien) mais je suis en dépression car pour la 1ere fois de ma vie j'ai acheté un sapin artificiel. Du coup il est toujours dans l'emballage... en plus je ne trouve plus les décorations de Noël, c'est la loose totale.
je suis super à la bourre dans mes petites commandes, mais bon, ça veut dire que ça fonctionne donc c'est plus que cool.
je suis désolée de ne pas prendre le temps de passer sur les blogs que j'aime tant.
en ce moment chaque jour je suis déçue. Déçue par des amies, des potes, des gens que je pensais plus proches. Du coup je me remets en question, je me dis que j'attends peut être trop de choses, que j'évalue pas sur les bons critères, que je vieillis mal aussi. Quand je vois Olivier qui adore tout le monde, qui rend la vie plus facile à tous... et bien moi j'y arrive plus. C'est lui qui a raison je le sais, il attends rien de personne, c'est ça la solution. Evidemment je ne suis pas parfaite, je dois forcément déplaire à beaucoup de gens, mais bon, il ne doit pas y avoir que ça quand même... Ou alors il faut que je m'inquiète.
le plus dur quand même c'est le manque d'Anaïs. Parce que oui, c'est totalement génial ce super boulot STABLE et IDEAL pour une maman... mais bon, j'avais tellement profité de Mélina que j'ai l'impression de passer à côté de beaucoup avec Anaïs. J'aurai aimé me payer le luxe du congé parental.
notre maison avance super bien depuis quelques temps..... l'emménagement n'a jamais été aussi proche ;-)
Mélina va me faire rire demain je le sens.
Et Anaïs sourit à chaque instant, à tout le monde et c'est ça le bonheur hein !
Ca va passer, j'approche la trentaine et j'ai toujours été très susceptible, on va pas me refaire ;-)